Il en est ressorti des éléments très interressants sur les réflexions de chacuns,chacunes.
Nous avons toutes cette rage et cette blessure interieure d'avoir le sentiment de nous étes faites bernées,leuréees,trompées,bref "prise pour une conne".
Nous sommes passées par la pensée qu'à toute relation entreprise, le PN établissait un listing en se disant"que vais-je bien pouvoir tirer d'elle?" ou "comment vais-je pouvoir utiliser cette couill****e?"
Dans un inconscient qu'ils ne connaissent pas eux-mème,la connaissance de l'autre passe éffectivement par certaines de nos failles parce qu'ils ont besoin qu'on soit assez empathique et dévouées à leurs besoins(comme un enfant face à sa mère par exemple) MAIS dans les faits,les choses ne sont pas préméditées de cette façon:
Je m'explique:
Quelqu'un qui se dirait"je vais la prendre pour une c***e" doit au départ avoir conscience du bien et du mal,de ce qui se fait et de ce qui ne se fait pas et surtout des retombées de ses propres agissements sur l'autre;à savoir la peine causée ou au moins le sentiment d'agir hors des normes.
Un PN n'a aucunement conscience de ça.Les normes,il en a vaguement une idée(il se rend bien compte que les gens parlent de valeurs,d'ou la simulation) mais ne les connait pas.Etant dépourvu,ça ne fait aucun écho chez lui.
Son absence d'empathie ne lui permet pas d'établir de causes à effets,de liens sentimentaux avec l'autre(d'où l'instrumentalisation).
Il agit par instinct,impulsivité face à ses besoins vitaux de reconnaissance et de remplissage de vide affectif comme le ferait un enfant de 5 ans.
Je pense que tout se passe au "coup par coup".Comme un réservoir à sec d'amour que l'autre est trop souvent obligé de remplir.
Il pourrait changer d'individu(pour nous),d'objet(pour lui) tous les jours ,qu'il le ferait…..la névrose affective et d'existence, étant trop forte.
Les rabaissements,humiliations et projections ne sont qu'un mécanisme de défense d'un cerveau malade et enfantin.Ca passe chez un enfant d'1,40 m en pleine construction mais pas sur un adulte( en apparence) de plus d'1,70m avec du poil au menton (ou de la poitrine et des formes pour une femme).
Tout ça pour que vous vous disiez que ces gens là sont malades,que leur cerveau est malade et qu' ils ne savent pas faire et agir autrement .
Là ou le bas blaisse c'est que nous,en tant qu'individu "normal",avec un fonctionnement normal ,nous avons tout l'après qui blesse parce qu'on raisonne avec une forme d'attachement de ce qu'on a vécu (vécu:vivre!) alors que pour le PN,tout est immédiatement vérouillé,il se sépare de ses propres ressentis(retour au vide…….qu'il faut combler immédiatement).
L'absence d'empathie biaise completement leur rapport à la réalité et aux relations à l'autre.
Mais encore une fois: ils sont comme ça,malades et leur cerveau ne sait pas fonctionner autrement que prendre tout ce que l'autre peut apporter pour un besoin vital d'exister.
Les mécanismes mis en place sur le plan relationnel et affectif sont faussés et s'ils ont connaissance de ce qui fait qu'une personne en face va réagir de telle ou telle façon c'est uniquement parce qu'il on étudié ça par reproduction (en gros:si je fais ça,au bout d'un moment j'ai une croquette) mais la tristesse et la souffrance causées ne sont pas prises en considération......se mettre à la place de l'autre (empathie),ils ne savent pas faire,ils en sont incapables .
Essayez de trouver un peu d'apaisement en vous disant que non,tout n'est pas "calculé",qu'on ne vous a pas regardé un jour en se disant"elle,je vais la prendre pour une belle becassine"....il s'est juste trouvé que vous étiez pleines de qualités ,que ça donne terriblement envie au PN ,que VOUS avez donné terriblement envie au PN et que le fonctionnement tordu de leur cervelle s'est chargé du reste,en bon automate.

