Dans l'ensemble ça va, mais j'éprouve ce besoin d'aller voir s'il se connecte sur messenger, oui c'est vrai, ça reste un lien... Par contre, quand je réalise que lui vit très bien sans moi et qu'il ne me contactera plus jamais, ça me tord les tripes et j'ai une angoisse terrible
Deux mois de relation et j'en suis encore là...
En fait, j'essaie de mettre un sens à ce que je ressens, à comme dit David, dissocier ma douleur de lui et je me rends compte que j'ai difficile à me pardonner d'avoir été aussi gentille et sereine avec lui, malgré le rejet, les rmq blessantes et son manque de considération, j'aurais dû réagir et me montrer du respect mais je lui ai à chaque fois trouvé des excuses de par son enfance difficile... Je pensais très naïvement qu'en lui montrant qu'une femme en étant gentille, souple, sereine, l'adoucirait dans ses rapports avec elle... Heureusement toutefois quand il dépassait mes limites, ça sortait quand même, vive mon caractère de feu, si si, là j'ai l'air d'une loque, mais vous savez, je suis quelqu'un de solaire d'habitude, toujours optimiste, enthousiaste, réconfortante, je veux retrouver cette Sophie là
bon sang, dès que je vais mieux et que je me secoue, patatras à un moment donné, paf ça retombe comme un soufflé 
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: j'étais partie voir le feu d'artifice le 31 à minuit, je lui ai envoyé une vidéo du bouquet final sans rien de plus (oui je sais, c'est idiot, mais ça me rongeait depuis qq heures de le contacter), il m'a répondu le lendemain matin avec un très gentil message, on a parlé un quart d'heure sur messenger, en fait il a surtout parlé de lui, et puis voilà 